"Misère, misère... c'est toujours sur les pauvres gens...que tu t'acharnes obstinément... Misère..." Commençons ce billet en chanson, une fois n'est pas coutume. Le titre peut vous faire penser à un billet morne et désabusé mais non.

Notre société va mieux, mais si mesdames zé messieurs, je l'ai lu dans le journal. Pour preuve les 400 plus grosses fortunes des Etats-Unis ont perdu 300 milliards de dollar. Si ça c'est pas une bonne nouvelle. AHAHAHAH !!! Oui je me marre du malheur de ces pauvres gens. C'est une maigre consolation, mais ne boudons pas notre plaisir, c'est assez rare pour le signaler. D'habitude c'est sur les vrais pauvres que la blagues est facile, les vrais petits, les vrais miséreux, ceux qu'on se moque pour exorciser nos propres peurs.

Actuellement les blagues fusent sur les suicides chez France Télécom, car ces gens qui étaient au fond du gouffre moralement on du remonté la pente pour pouvoir s'y jeter physiquement...dans le gouffre. Bref, c'est la misère des uns qui fait rire tous les autres, c'est une sorte de bien social en fin de compte.

Mais le pauvre a aussi de l'humour, ce n'est pas l’apanage du riche. C'est le sujet d'un de mes tableau de la série Rigol'art.

absinthe ni touche "Absinthe ni touche" acrylique sur toile 56x45 cm